mardi 20 janvier 2015

17.01.2015

17/01/2015
05h41



Je t'ai toujours aimé, d'un amour con et peu sincère, sûrement...
A baiser d'autre, du fond de mes rêves...
Trop de tristesse, de lâcheté..
Je préfère qu'un homme est trompé de trop d'amour que celui qui toujours a écrit et rêvé, de trop de lâcheté.

Il est difficile d'écrire tout ce qui nous a détruit.
A ton âme souvent j'ai dansé avec la haine.
Il est dur de s’apercevoir, un miroir, de se regretter.
D'un poète ne pas avoir été la clé.
D'une autre, regretter,
de son souvenir, entrevoir.

J'ai souvent essayé d'écrire, tout ce qui nous a détruit, tout ce dont je m'en veux, ce pourquoi je te vomis.
Souvent ne me reviens en mémoire que l’absence de gloire et la honte.
Tu sais à chaque rencontre, dans mon périple, on me dis que tu est impossible.
Que de mon souvenir tu n'a pu te détourner si vite.
Que de nous, tu ne peux ne plus penser.
Que de l'histoire tu pleure,
Qu'a d'autre amours, tu compare mes lèvres.

Jamais je ne prendrais mon vol pour Dublin. L'espoir de te voir, quand bien même pas en amour, heureuse.
De me voir, ici, te revenir, l'avenir.
Tu es noble. Vouloir de ton être, te relever. D'un passé, d'un oubli, ne pas pouvoir revivre.
Quel intérêt de me tuer ?
Me faire croire qu'une autre t'a remplacé ?
Toujours je t'aimerais.
De tout mon être je te haïrais, de ton corps toujours penser.



Lettre à Kate :

«  Ma sœur. Celle dont j'ai toujours rêvé.
Ce soir je te parlerais d'Amandine. Si elle se souvient encore de quelque chose, elle sait que je t'ai toujours voulu.
Tu sais, au plus profond du gouffre, elle m'a fait revivre.
Depuis tellement d'année c'est la première fois que je ne suis pas esclave de l'angoisse, mais que je succombe au chagrin.
C'est tellement plus viscéral. L'angoisse est complexe, inconsciente, il n'est d'arme pour la combattre.
La tristesse est belle, elle dessine ses seins.
De ses bras je sombre.

Putain, ses seins.

Tu sais, Kate, elle s'en fout mais j'ai compris les maux dont je souffre.
C'est eux qui nous ont fais mourir.
Dès que je la vois porter un de nos vêtements, bijou, parfum, je lui jure à la gueule.
Dès que je l'imagine, pisser sur mon être, à s'extasier dans la sueur d'un autre, j'ai peur.
A chaque mal de crane, quand l'alcool fais danser la pièce, qu'a son être je sacrifie mes années, je la vomis.

Je sais que je suis coupable. Et injuste, mais j’espère qu'a travers ses mots tu comprend que la tristesse est celle qui écrit.
Et que de mon intellect, je ne lui en veut que du mensonge, de l'oubli, de l'abandon, de l'amnésie et de la sécheresse dans les yeux, qu'elle veut me faire croire.

Enfin Kate, tu sais que notre pays me répugne, que de l'actualité j'aimerais te parler.

Une amie m'a dit qu'elle voudrait que l'on parte tout les quatre à Londres mais d'Amandine et de l'étranger, j'ai la peur la honte et la maladie.
Demain soir j'aurais l'occasion de te revoir, à mon corps, à l'habitude, je vais revivre l'horreur, à l'alcool.


« Au fond d'une bouteille, ivre, renaît l'espoir de son regard. »

vendredi 9 janvier 2015

Amandine, à l'espoir de ne plus te mourir, voilà mon ultime parole.

09/01/2015
03:56



Imprégné de toute l'horreur que nous avons vécu(e)s hier et aujourd'hui, de l'alcool et de ta chaire, à toi, à jamais, je m'indignerais. Ce soir sera un brûlot, depuis Fukushima je n’en avais publié.
Joyeux dans l'oubli, dans l'alcool, il est venu l'heure de m'exprimer.
Cet article n'aura de sens, à voir toutes les fautes déjà écrites, les lettres qui s’emmêlent, il est sur que je suis ivre. La musique à fond, un verre de rhum posé à coté de moi, continuons la lutte.

A CHARLIE, A vous tous, trop souvent oublié. Quand la mort survient, à ça oui, le peuple et les politiques se rappellent la liberté.
Je n'était pas toujours d accord avec eux, les trouvent parfois trop simpliste, trop peu pédagogue. Mais à travers eux, c'est la liberté que l'on veux mettre a terre.
Et malgré tout le respect que j'ai envers la religion musulmane, ceux qui ne mettent pas « je suis Charlie «,  mais, « je suis musulman », condamnant le massacre perpétré par deux abrutis mais ne cautionnant pas les caricatures que Charlie Hebdo à fait du prophète, sont une bande d'abrutis fini.
« Je suis Charlie » ne représente pas un soutien indéfectible au journal, mais un soutien inconditionnel à la liberté, ce slogan veut dire « si vous voulez tuer notre liberté alors tuez moi d'abord ».
Ce qui me fais vomir, c'est cette armées de journaleux et de politique qui jouissent de cet acte. En invitant la compagne de Charb, au bord des larmes, lui posant des questions de plus en plus intime, TF1 me fait vomir.
Lepen qui souhaite s'amuser à soutenir la peine de mort, jouant sur l'émotion que nous avons devant cet assassinat, me fait gerber.

A tous nos amis mort au combat d'oser défendre l'avant garde, de dire que la France a perdu de sa superbe. J'ai trop peur, de ne pouvoir dire dans les semaines qui suivent que les journaleux sont honteux sans me faire insulter. Je ne pense pas que les gens tués hier aurait voulu cela. Une immunité à tout nos cons, que depuis des siècles nous couvons.

A CHARLIE, que trop de gens pleurent sans comprendre. Vous pleurer une attaque sur notre sol, contre nos valeurs, historiques. Vous gerber de voir qu'arrive enfin cette terreur dans laquelle les médias essayent de vous plonger depuis un an.

Des amis m'ont dis qu'ils étaient touché(e)s sans trop savoir pourquoi, je pense sincèrement que c'est due à ces trois facteurs. Les deux premiers sont facilement compréhensible c'est pourquoi je vais cultiver le dernier.

Quand un malade a foncer sur les piétons, alors même que l'on savait déjà que celui-ci avait fait plusieurs aller-retour en psychiatrie, les médias salivaient en attendant de pouvoir dire qu'il était djihadiste.
Tout le monde à une boule au ventre, ont nous as vendu ce climat. Quand une horreur éclate il est alors temps pour la France d'Hurler, de donner enfin un nom au malsain.






A toi, Amandine, mon autre, mon ailleurs. Je publierais nos conservations et bien sur que tu en es gêné, et bien sur que tout nos amis savent quel amour se planque derrière ce prénom.
Je ne publierais que le dernier soir et je m'en fous de ton avis. Je m'en fous car ce dernier soir fais l'état d'un Homme pathétique.
Celui qui supplie à son amour de le rejoindre. Malgré le mal qu'il a fait. D'une femme qui du passé se souvient mais de l'avenir rêve d'un meilleur. De cette dernière conversation tu n'a pas à avoir peur. Bien sur que je vais tout modifier, le livre comme le cinéma n'est qu'une fiction, raconter à travers la conscience de l'écrivain.
Mais je vais modifier le texte, car il fait dix pages et que j'ai vraiment à l’âme l'envie de montrer le pathétique d'un Homme qui un soir gueule à la lune sa propre misère, pas pour te faire passer pour un monstre.
Je vais le modifier car il fait dix page et que tout n’intéresse pas tout le monde.
Et aussi parce que tes interventions sont robotiques.

Je ne peux t'en vouloir d'ouvrir les cuisses, je ne peux que m'en vouloir. Coucher avec le monde n'est pas mal, là tout le suite, le concept me fais hurler.

Je l'ai voulu, te tromper, te défier, t'emmerder. A l'autre avec terreur, faire mal.
Ce ne sont que des mots, quand l'alcool vous parle.

Ce n'est pas cet communion avec l'exotisme qui m'indigne, en Erasmus et surtout sortant d'une relation longue dans laquelle tu était depuis toujours, tu as mille fois raisons, la découverte.
Il est facile pour moi de t'en vouloir et de tous vouloir les combattre. Laisse moi cela.


C'est plutôt cette amnésie dans laquelle je noie chagrin. Pendant dix jours je n'ai eu cesse décrire que sur ton aura. Par envie de reconquête je te l'ai envoyer. La femme à laquelle je fus confronté ma tué.
Tu te tue à me dire que tu n'a pas changé, mais quant au bout de cinq mois, celle qui a dit que toujours elle serait là, ne daigne m'écrire plus de trois mots, mon amour est mort.

Le dernier soir, le pathétique, j'ai pleuré, des heures durant, et ce n'es pas parce que cette écrit ce doit d'être poétique.
Je t'es haï, d'être, une âme à découvrir.
« Le passé à lui seul ne peut refaire naître l'envie ». Bien sur, et les vœux d'un amour, sa pénitence, ses promesses ne peuvent te faire revenir.
Mais pourquoi tant d'oubli.

Aux autres, dans d'autres nuits, avec tant d'envies tu as découvert la vie, mais pourquoi l'oubli ?

Je t'ai oublié dès que nous sommes arrivés à Rouen, je t'ai soumis, je t'ai souillés. J'était devenu un monstre, gros et immonde. Je ne te faisais plus l'amour que d'un désir violent et rapide. Je ne t'aimais plus que de bras au fond du gouffre. Quand la détresse se fait grande, une autre épaule sur laquelle supporter.
Mais aujourd'hui, malgré ce que l'on a grandi, ensemble. Comment peut tu de ton âme me dire que tu ne ressent rien.

Je ne te demande pas l'amour, la vie, tes lèvres. Autre chose que de l'effroi, qu'une beauté sans vie, celle qui m'a appris à aimé.
Qui me dis sans regret qu'elle n'est plus, qu'au bout de cinq mois elle est ailleurs, que de quel nationalités elle va aimée est devenu sa préoccupation.
Que de moi elle rêve en ami.
Je ne te demande pas d'aimer, juste d'en pleurer.

Sous la pluie, A Dublin, en chiant sur l'autre, après trois pinte dans la gueule, égoïstement je te demande, souviens toi me mon sourire. De ces cheveux aussi long que le diable et de cette prétention impudente.

Mon amour au bord du vide, en haut de l'immeuble, je te supplie, dis moi que tu me mens.
Que du haut de ta connerie tu ne peux pas ne plus être, juste une connasse vannée, lassée.

Nous avons vingt deux ans. Tu t'en fous et mon foie s'en souvient. C'est la première fois que nous passions les fêtes de fin d'année ensemble, de ton exotisme brésilien tu l'a fêtée, sucré.


Triste de tant de meurtres, je te vomis. Nous ne serons jamais amie(e)s, j'exècre celle que tu veux me faire croire de toi.
Celle qui me parle de tout ces autres, plus j'en demande et plus elle se livre.
Celle qui ne me parle pas avec plus de trois mots.
Qui me demande amitié comme elle demanderais l'amnistie.
Qui me dit que ce que j'écris est beau.
Qui me dit qu'elle n'a pas changé.
Qu'elle a le mal du passé.
Que de celui-ci elle est lassées.
Que sa nouvelle famille ne peut être mienne.
Que de mes bras elle s'en ira encore plus loin l'an prochain.
Que de nos souvenirs elle ne retiens que du chagrin.
Que de nous elle est libérée.
Que de l'océan de mes mains elle s’étouffe.
Que de la pluie de mes chagrin, elle sort le parapluie.


Il est probable que demain, lisant ça, elle me dise que je me trompe, qu'elle n'a pas oublié, qu'elle est toujours là, mais en amie.
Tu as oublié ma belle. Dans le plus triste des langages et la plus résigné des plumes, je te le dis.

De ne plus être, de me dire que tu veux être amie mais que si je veux pas alors tant pis.
De ne plus te battre. De t'en foutre.
Tu as oubliée.

Et avant de ne plus jamais t'écrire, car de ton nom j'ai besoin dans le mur d'enfoncé mon crane mais à l'oubli j'ai aussi le droit.
Sache que je t'ai aimé et que je t'aimerais toujours. Sache aussi que quand tu reviendras, dans l'indifférence générale et un lendemain autre. Quand tout le monde se foutra de ton corps, que d'un confident tu cherchera la voix, je ne serais plus forcément là.

Je ne peux pas, face à un fantôme, l'amitié.
Devant le mal, celui qui me déchire je ne peux, à jamais t'attendre. Et surtout en ami, devant ton amnésie, être tien.

Sache qu'à jamais je te vois nue, et que de ceci je ne retiens que de la gloire.
Celui qui devant la plus belle des reines a pu, mourir pour un royaume.
J'en pleure juste, à te souvenir. Je te hais juste, à ton présent.


Tu m'a souvent dis que le souvenir ne faisais pas renaître la flamme. Je ne t'ai jamais guidé vers le passé.

A jamais, je t'ai soutenu l'avenir.
De tes mensonges, ces prétextes aussi grossier qu'un adulte, j'ai fais face.
J'ai la volonté de publier par la suite notre dernière conversation.
Je t'ai toujours dis la volonté qui me brûle les entrailles. Et tu n'es pas assez conne pour croire que je veux, le passé. Tu as été assez lâche pour me soutenir que de toute façon tout cela n'était plus tien et que tu était ailleurs.

Ici, un ultime sanglot. Je t'aime. De trop de chansons, pathétique, je serais ton nom.
Au delà de ton oubli, de cet écœurement. Au delà de toi, sorcière. Je serais jusqu'à la mort en attente, de cette voix, de cette putain de voie.

De ton cadavre encore chaud, j'essaye de ne pas te haïr mais de me me dire qu'a l'oubli tu as préférée te confiée. Car un amour, personne ne le perd.

Je préfère penser qu'à la marche, sur le chemin, tu as du te délestée, de cet insoumis, de cet incertitude, ce mec, cet ailleurs avec qui tu as guéri, qui t’empêche chaque soirs, dans les bars, de cramer la vie.

Qu'un jours, en paix, de ton âme, tu te souviendras, de la connerie que tu as asséné, du poids de ces mots sur lesquels son voilier a fait naufrage.

Sache ma belle, que les larmes sur le clavier, je t'aime. Et que la haine, je le sais désormais n'est pas contraire à l'amour.
C'est toi ma belle qu'il l'est, oui c'est l'ignorance.



« Amandine, à l'espoir de ne plus te mourir, voilà mon ultime parole. »

jeudi 1 janvier 2015

01/012015

« L'amour s'en est venu c'était un soir d'automne
Dans la ronde des feuilles mortes qui s'abandonnent

Dans le tourbillon fou des jours et des nuits
Par une nuit d'amour mon amour est parti

Dieu que la lune est belle
Quand on est en amour
Dieu que la lune est belle
Quand tu es de retour

Et si je rêve encore
Qu'un jour
Tu me reviennes
C'est que sans toi
Je suis comme un Roi
Sans sa Reine

Et s'il me faut pleurer encore
Pour te voir revenir
Alors je pleurerai si fort
Que toi, toi, tu voudras repartir

L'amour s'en est venu c'était un soir d'automne
Dans la ronde des feuilles mortes qui s'abandonnent

Dans le tourbillon fou
Des jours et des nuits
Par une nuit d'amour
Mon amour est parti

Dieu que la lune est triste
Quand on est en amour
Dieu que la lune est triste
Quand j'attend ton retour

Et si je rêve encore
Qu'un jour
Toi, tu reviennes
C'est que sans toi
Je suis comme un Roi
Sans sa Reine

Et s'il me faut pleurer encore
Pour te voir revenir
Alors je pleurerai si fort
Que toi toi toi, tu voudras repartir

Et si c'est à la vie, à la mort
Comme un coeur qui respire
Alors je pleurerai si fort
Que toi toi, peut être qu'un jour tu voudras revenir « 

Mélancolie, Saez.



01/01/2015
02h55



Te rappelle tu mon amour, c'est la première fois que nous passons cette année, loin ? Y pense tu mon amour ?
T'en branle tu ?
Bourrée, j'ai parlé a un ami. Un vieux, tu le reconnaîtrais. Mon ancien voisin.
Sa femme l'a quitté, il y a deux mois. Je n'ai rien à en dire, qu'à l'écouter, je l'aime presque autant que lui.
Il lui écrivait ce soir ; « En 39ans c'est la première fois que nous fêtons le nouvel an séparées, souviens toi.... « .. Un poète. Et toi ma pute, souviens toi....
Là dans le lit d'un autre, je m'en fous. Au début c'est ce qui me tuait mais au final, de ma bite je n'ai plus d’espoir.
Ton amnésie me fais pleurer, en cinq mois, à l 'exotisme tu es vouée, allez jouis ma chérie, ne me viens pas pleurer. Je crache au sol, à ton ailleurs je pense.
Ivre à la mort, je pense à toi, à me relire je les conchies.
Demain, le regret. Ce soir je t'imagine et je souffre. Avec lui, mon ami...Dans les bras je l'embrasse.
Sa pute s'en est allée..
Ce n'est pas sexiste, quand nous sommes des salaud vous avez vos maux ?
Tu le sais que de mes couilles je suis plus féministe que de leur seins, nues.
Tu ne sais plus rien et tu t'en fou.
Dans les bras d'un autre à la nuit, inconsciente tu voue ta vie.
Mon ami, dès qu'il m'en est possible, je l'aide. Sans lui marcher sur les pieds, sans lui indiquer. Il s'en irait.
Dès qu'il m'en est possible je lui déconseille de lui parler, il est tellement plus dur de rester. Avec les souvenirs, d'affronter, de ton futur, la crainte.
De ton passé, les larmes. De ton sommeils, mes nuits.
Noirs, éveillés, je m'en veux autant que je te tue.

Et toi tu es là à me crier que tu n'a pas changées. Tu m'a jurés que tu serais la dernière sur ma tombe à te rendre chaque soirs, quand bien avant la fin de notre danse tu t'en es allées.

Ne te retourne pas mon amours, si un jour tu n'aime plus la découverte. Cruel, je te pisserais dessus. Amoureux, je t'embrasserais.

Ne me fais pas face mon amours, dans le froid, au fond d'un autre lit, ne pense pas à moi. De chagrin, je t'aimerais à mourir, dans la rage je te laisserais là, sur l'asphalte, à la mort.

En lisant ces pages, tu rigoles, pourquoi me retournerais-je ? Quand au delà de ton inconscience, de la peur tu te relèveras, quand tu te souviendras, qu'avec moi tu était. Dans mes bras, amours autre qu'un phallus en rûte.

Quand de quelqu'un tu auras besoin. Que la brume sur tes matins, te parleras.
Que de l'aventure tu ne sauras tiré. Tout l'amour que tu désire. Comme un chien qui cours, la bave aux lèvres.
Mes textes ne seront plus là pour te raconter chagrin.
De mon amour je me serais relevé, et mon cœur s'en sera allée. De trop pleurer ton visage, on erre un temps, jusqu'à ce que tout à coup, la beauté de son doux visage, vous invite, doux rivage.

Mon amour, je n'en peux, au pied de mon magnolia, t'en pleurer à vomir.
Je t'emmerde autant que je t'aime. J'emmerde à jamais ce sommeil qui nous lie. Cette amie, démon de notre devenir. A cette nouvelle année que sans toi je vis, tu n'anime aucun regret. Dans une totale insignifiance, tu t'endors. D'un autre futur, sans pensées, tu rêve.

D'autres culs je n'ai envie d'aboyer.
Sans pensées, tu nettoie le passé. Sans lumière ni chemin. C'est comme cela que je ne peux que le voir, on ne peux en cinq mois, oublier celui avec qui on a ouvert la mer, de nos deux mains.
Celui qui vous as aimées, qui vous à portée, au fond de vos nuits quand de vos cils se fixait la pluie, la douleur.

Je le sais, tu ressens l'affection. Je l'encule. De tes pleures, j'ai envie de vivre. De ce souvenirs j'ai envie que tu sois, immobile. Que tu te souvienne, qu'a tout ces cons tu ne voue que des bras, qui de l'oubli sont tristes.

A Nicolas je souhaite de ne jamais le vivre. A mon petit frère, ce chagrin qui vous noies.
A mes amies, je rêves d'être, celui qui de cette pute les distraira.
A mon corps je lui dis, imbécile amuse toi.

Puisqu'elle veut être, avec toi le plus beau des ailleurs. Puisque chaque nuits, elle se tue à s'oublier.


De tout mon être, abruti, défausse toi.